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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 07:04
Ca c'est du titre!!

Ce matin en ouvrant les volets : premières gelés sur les toits et sur les voitures. Sous ma couette j'avais bien chaud mais en allant vers la salle de bain, je me suis gelée. Mon chat est pelotonné sur sa couverture polaire. Ma tortue est sous sa lampe chauffante. Je pense que ce soir il va falloir rallumer le chauffage.

Hier au travail, j'ai passé 5 minutes avec une collègue, c'est le temps qu'il lui a fallu pour me faire sortir de mes gonds.

Parait que je lui aurais vidé le réservoir de la voiture de service. Avec 5 malheureux kilomètres pour emmener des jeunes en visite?? Et les 120 qu'elle vient de faire derrière?? Mais non, c'est de ma faute, elle était en pétard après moi!! J'aimerais autant qu'elle me dise clairement ce qui chez moi l'énerve tant!! Je lui ai gentiment fait part de mon avis sur la question. Je ne suis pas sûre de savoir rester aussi calme la prochaine fois...

Ce n'est pas son coup d'essai, régulièrement je subis ses petites mesquineries, ses réflexions "l'air de rien". Nous intervenons toutes les 2 sur le même groupe et j'apprends par les stagiaires, que lors de sa dernière journée elle leur a fait faire des exercices qui m'incombaient. Elle connait les tâches qui reviennent à chacune, on ne me fera pas croire que c'était pour les faire réviser (surtout quelque chose qu'ils n'avaient pas encore vu), ni que c'était pour m'avancer ou me rendre service. Soit elle s'ennuyait au point de ne pas savoir quoi leur faire faire et du coup à anticiper sur mes séances à venir, soit elle voulait contrôler où j'en étais rendue, soit elle se fout du monde et de mon travail en particulier! Soit je suis parano et ne devrais pas prendre ça comme une attaque personnelle...
Je laisse courir cette fois, mais ce sera la dernière...

Pour tempérer un peu tout ça, hier matin, je suis allée prendre possession de mon nouveau bureau à mon nouveau boulot pour commencer lundi. Quel bonheur de voir que j'aurais un bureau, des outils pour travailler et cerise sur le gâteau, j'ai même été formée!!



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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 12:33

Ce matin, une collègue, C, m’appelle, elle fait aussi partie des personnes qui devaient venir mardi soir à la réunion d’échange de pratique mais ne pouvait pas car elle n’avait personne pour garder ses enfants.

 

Dring, dring

 

« Moi : Allo

C : Salut Shy, c’est C, je ne te dérange pas ?

Moi : Non pas du tout.

C : Tu es quelque part pour un bilan ?

Moi : Non je suis chez moi, je ne travaille pas aujourd’hui

C : Ok, je voulais qu’on se fixe un rendez-vous pour préparer les TRE (NB : techniques de recherche d’emploi) du nouveau groupe.

[ et bla-bla-bla pour fixer le rendez-vous]

C : Et à part ça, ça c’est bien passé mardi soir ?

Moi, un peu gênée : Ben, en fait je n’y suis pas allée.

C , surprise: Ah bon, pourquoi ?

Moi, des trémolos dans la voix, essayant d’expliquer sans trop en dire : Ben disons ...que...j'avais pas trop le moral alors...j'ai préféré ne pas y aller...

C : A cause quoi ? Des soucis ?

Moi, toujours avec trémolos : Ben euh, en fait, comme je l’avais dit à la première réunion, je n’ai pas votre expérience, je ne sais pas ce que je pourrais dire… enfin… euh… je ne me sens pas trop à ma place…

C : Enfin tu sais, j’ai eu O au téléphone avant, elle m’a dit que ML, avait des soucis à son travail alors il s’agit surtout d’écoute, de compréhension, de remotiver, de conseil pas forcement de parler de tes expériences.

Moi, pensant que je ne sais même pas faire ça : Ben… euh… oui… mais…

C : Mais c’est vrai que quand on ne va pas bien soi-même ce n’est pas évident. En tous les cas, ce n’est pas du tout l’impression que tu donnes !

Moi, ennuyée : Oui, je sais. J’essaie de ne pas le montrer.

C, ne sachant sans doute plus quoi dire: Ah ok, bon alors, à bientôt, bonne journée

Moi : Merci, toi aussi, bye

C : Bye »


 

Bip, bip…

 

Conséquence : je raccroche, je me sens mal, je n’ai pas su m’expliquer.

 

Conséquence 2 : je me dis que je ne vais pas signer mon renouvellement de contrat, je ne peux plus aller travailler là bas, ce n’est pas pour moi, sniff.

 

Conclusion : j’ai du mal à comprendre les connexions que fait mon cerveau entre les différents événements qui arrivent et les conclusions qu’il en tire.

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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 11:13

Mardi matin, mon ex me téléphone pour m’annoncer le suicide d’un de ses amis. Sur le coup ça m’a fait bizarre. A l’époque du mariage, je connaissais ce mec et nous nous voyions de temps à autre. Je l’appréciais même.


Au téléphone, j’ai donc pris le temps de discuter avec mon ex, de l’écouter pleurer, d’essayer de lui dire qu’il ne culpabilise pas… Nous ne nous étions pas parlés depuis plus d’un an et l’entendre me retéléphoner pour pleurer c’est sûr que ça fait une drôle d’impression.

A ce moment là, il m’a semblé normal de l’écouter, de compatir, d’essayer de comprendre avec lui. Ensuite, il était sensé me tenir au courant pour l’enterrement et tout le toutim. J’ai donc eu un mail un peu plus tard pour me dire où envoyer des fleurs ou des photos. Même si je le connaissais je ne me considère pas comme faisant partie de ses amis et je n’ai pas envie de prendre contact avec eux pour participer à l’achat d’un bouquet. Me rendre à l’enterrement, je ne l’envisage même pas, c’est trop loin.


J’ai donc répondu au mail en disant que je pensais plutôt envoyer une petite carte aux parents. Et comme je suis un peu nunuche j’ai même essayé de consoler encore mon ex dans mon message.


Devant son absence de réponse (je lui demandais une adresse où écrire) je suis finalement plutôt fâchée. Après lui, après moi et après les convenances.


Bien sûr que c’est triste un suicide mais en quoi un courrier de ma part changera quelque chose ? Ce mec, je ne le voyais plus, j’avais vaguement tenté de le recontacter après la séparation car je pensais que nous nous aimions bien mais il n’avait jamais donné suite, il avait manifestement choisi son camp. A l’époque, il y a plus de 2 ans, je lui avais demandé des explications, parce que j’aime que les choses soient dites, plutôt que de me perdre en suppositions. En fait je me rends compte que j’ai souvent demandé des explications, mais je les ai rarement obtenues, finalement les gens préfèrent se taire plutôt que de dire les choses… Mais ce n’est pas le sujet. Donc comme tant d’autres : il ne m’a jamais répondu et je l’ai donc sorti de ma vie et de ma tête. Pour moi il avait déjà disparu.


Et là, parce qu’il est mort, je me dis que je devrais écrire, soutenir, participer… mais pourquoi en fait ? Parce que la mort remet toutes les pendules à zéro ? Parce que ça se fait ? Chaque jour des tas de gens meurent et je n’écris pas à tous ces inconnus. Alors lui, alors qu’il était sorti de ma vie, alors qu’il ne voulait plus de moi dans la sienne, pourquoi je devrais lui écrire ? Il n’était rien de plus qu’un de ces inconnus finalement, nous n’avons pas vraiment partagé de moments ensemble. Je ne l’ai jamais considéré comme un « vrai » ami et réciproquement.


Mais voilà, les convenances imposent de témoigner un peu de compassion. Mais j’en ai raz le bol de suivre les convenances, de me sentir obligée de suivre parce que c’est ce qui se fait.


Et mon ex, quel besoin a-t-il eu de venir me pleurer dans l’oreille, il n’a pas une pouffe chez lui pour ça ? Il aurait pu se contenter d’un mail, comme il sait si bien le faire quand il a besoin.


Et moi, je suis trop bête, tout de suite il faut que je me montre gentille et compréhensive alors qu’en y réfléchissant bien, ça ne me concerne pas. Oui c’est triste, comme tous les suicides, oui j’ai connu ce gars, comme pleins d’autres gens qui sont peut être morts aujourd’hui et après ? Je n’ai rien à faire par rapport à ça. Je suis peut être égoïste mais ça ne me concerne plus. Et mort ou vivant, il n’a pas à faire partie de ma vie. Et mon ex, ses larmes il n’a plus à les partager avec moi. Il ya déjà quelques mois il m’avait informé par mail du décès d’un de ses clients et j’avais envoyé une lettre de condoléances à sa femme alors que je ne les connaissais pas. Mais ça faisait bien pour le commerce de monsieur, et il m’avait prié de le faire, et j’avais obéi… bien sur, c’était convenable…


Mais cette fois, je n’enverrais pas de lettre, rien du tout, je n’ai pas envie de suivre des convenances qui en fait me font chier !!

 

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10 septembre 2009 4 10 /09 /septembre /2009 23:43

En juillet j’ai postulé dans un grand centre de formation. J’en ai parlé à un ami au cas où il pourrait faire quelque chose pour moi, j’ai su plus tard qu’il ne préférait pas, je le comprends, une telle démarche ( pistonner quelqu’un y’a pas d’autre mot) ça me mettrait aussi mal à l’aise.

J’en ai parlé avec ma responsable actuelle, elle m’a vaguement fait comprendre qu’elle connaissait le directeur mais je n’ai pas osé/voulu lui demander de m’aider, et puis j’avais déjà demandé à cet ami, je ne voulais pas qu’il reçoive des informations par tous les côtés, j’aime pas paraître insistante.

En aout j’ai téléphoné pour savoir où ça en était. Je me suis faite gentiment jetée : il ne faut pas téléphoner, il y a trop de candidatures. Je n’y croyais plus.

En septembre j’en ai parlé à une collègue. Lundi elle a pris son téléphone pour parler de moi au directeur du centre. Il a téléphoné à la direction régionale qui s’occupe des recrutements. J’y croyais un peu du coup. Mauvaise idée : le poste est pourvu.

Je m’y suis prise trop tard, je pense que la prochaine fois j’aurais moins de scrupules à m’adresser aux gens que je connais, à tous, et dés le début.

Pourtant ma formatrice m’avait prévenu et incité à « jouer des coudes », j’aurais mieux fait de l’écouter au lieu d’écouter mes scrupules puisque c’est la pratique de la maison.

Le directeur a dit qu’il y aurait peut être d’autres embauches, mais je n’y crois plus…

Ce poste n’était pas pour moi, il va falloir que je m’applique à moi-même les conseils que je donne aux autres pour trouver un boulot.

Un peu déçue aujourd’hui, envie de bonnes nouvelles…

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 08:44

Je ne connais pas la sensation « gueule de bois » mais je pense m’en approcher ce matin.

Hier soir j’ai été malade (je vous passe les détails), je me suis endormie comme une masse avec tout un tas de sensations bizarres : fatigue, tournis, maux de tête, mal de bide… J’ai mis ça sur le compte d'une mauvaise digestion du sandwich de midi. Peut être de la fatigue aussi, à cause d’une journée assez éreintante hier.

A ce propos, je ne regrette pas de ne pas avoir été prof. Hier ils étaient 15 sur le groupe de remise à niveau, j’ai passé l’après-midi à courir de l’un à l’autre, à expliquer, à faire lire, à réexpliquer, à essayer de les faire taire (je ne sais si c’est le retour de la chaleur mais ils n’arrêtaient pas, pffiou…)… Bref, en rentrant j’étais sur les rotules… 15 en soit ce n’est pas beaucoup mais le souci c’est qu’il n’y en a pas 2 du même niveau, donc il faut faire de l’individuel en groupe et ça m’épuise, je ne sais pas comment fait la formatrice tout au long de l’année..

Passons, donc hier soir : malade. Et ce matin, je me sens toute flagada. Je n’ai plus de nausée mais une sensation de vertige, de mal de crane naissant, de truc derrière les yeux (je ne sais pas comment expliquer mieux que ça), de fatigue et puis j’ai les yeux injectés de sang et tout plein de petits points rouges autour (ça, c’est « normal », ça me le fait quand je tousse ou vomit trop). Moi qui ai prévu de faire tout un tas de choses aujourd’hui j’ai même du mal à écrire ce petit mot…

Je vais tenter la vaisselle tant qu’il me reste un peu d’énergie. Sur le tabac en face de chez moi, y’a la une d’un canard qui dit que Johnny a la grippe A, alors je vois pas pourquoi je ne pourrais pas dire, moi aussi, que je suis malade (non, non, j’ai pas de fièvre, quoique…) lol

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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 10:06

J’vais sur un forum et je reçois une pub sur l’haleine forte… ben ils ont qu’à dire que je pue de la gueule aussi… Nanmééého !! J’lui permets pas !!

(ok, j'ai pas grand chose à raconter en ce moment )

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19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 16:56

Ce matin, alors que je ne bossais pas j’ai quand même du me lever de bonne heure mais pas forcement de bonne humeur.


J’avais rendez-vous avec la psy, à 9h15. Comme je ne supporte pas le retard, je suis arrivée un peu en avance, le temps de m’attacher les cheveux avant de descendre de voiture, à 9h10 j’étais dans la salle d’attente et j’ai attendu. Elle est arrivée à 9h30 au boulot, elle avait des courriers à envoyer, dire bonjour aux collègues… il était presque 9h45 quand on a commencé, la prochaine fois je n’attends pas je me barre.


S’il y a une prochaine fois ! Je ne me sens pas écoutée, pire je me sens jugée. J’ai l’impression qu’elle ne pourra rien m’apporter de plus que ce que j’ai fait avec ma psy d’avant. Parler pour parler, c’est pas mon truc, pleurer : je peux le faire toute seule chez moi, m’entendre dire que « qui ne tente rien n’a rien »,  je le sais déjà  et puis que l’on me dise que ma vie de couple n’est pas gaie car nous avons choisi de ne pas vivre ensemble… ben, qu’est ce que ça peut lui faire ?


Ce matin, j’avais vraiment le moral dans les chaussettes. Du coup je me suis quand même mise à pleurer sur cette impression que quoi que je fasse je n’irais jamais bien, sur ma solitude, sur le fait que je ne sais pas me faire d’ami, que je ne sais pas faire la conversation… elle ne me croit pas, pour elle on sait forcement faire la conversation, elle n’a pas vécu plus de 30 ans dans ma peau ça se voit ! Je suis persuadée que ce n’est pas un truc avec lequel tout le monde nait, je me sens handicapée de la communication et si je le sens, pourquoi ça ne serait pas vrai ? Ma psy d’avant me disait de faire confiance à ce que je ressens, pour une fois que je fais ce que l’on me dit…


Depuis le début, ça doit faire presque 2 mois maintenant, elle me demande de noter tout ce que je mange. Je le fais mais je n’en vois pas l’utilité à part que je me rends encore plus compte que je mange n’importe comment  et quand je regarde ma feuille je culpabilise.  Super !

Enfin bref, c’est toujours pas la forme. Cette fin de semaine nous partons 2 jours dans un château, en fait non, enfin si, je vous expliquerai… tout ce que j’espère c’est que le fait de voir du monde va me remonter le moral !

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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 14:32

J’avais un rendez-vous avec ma dernière personne en bilan de compétences. Après avoir analysé et cherché à faire ressortir toutes ses compétences, nous en sommes à la phase de réflexion. Que peut-elle bien faire avec tout ça ? Elle a pris conscience de tout ce qu’elle sait faire, nous avons aussi explorer ses centres d’intérêts, ce qu’elle veut et ne veut pas. Et maintenant ?


Il s’agit de mettre tout ça ensemble et d’en faire ressortir un secteur d’activité, des pistes professionnelles où elle peut s’investir. C’est la partie du bilan qui demande un vrai questionnement, une remise en cause, une mise à plat entre ce qu’on sait et ce qu’on veut ou pas. Changer, aller vers tout autre chose, rester dans le même domaine, assurer ses arrières, partir en formation, reprendre les études…


C’est une phase très intéressante mais déstabilisante et j’ai du mal à voir en face de moi des gens complètement perdus, dubitatifs, indécis… Pour chaque personne, à cet instant là, quand tout est encore possible ou presque, quand aucune décision n’est prise, quand on vogue encore dans l’inconnu, j’ai vu un éclair de panique dans leurs yeux. Souvent ils me disent attendre que je leur propose une solution et ils ne sont pas rassurés quand je leur dit que je n’en ai pas, que c’est eux qui vont trouver.


Je me sens mal à l’aise dans ces moments là, j’ai face à moi des gens qui auraient besoin d’être rassurés et je ne peux rien leur dire d’autre que nous allons continuer et que les nuages vont se dissiper. Pour certains le doute ne dure pas, pour d’autres, il s’étire sur des jours et des jours.

Et donc ce matin j’ai eu face à moi une personne perdue, désorientée, que j’ai essayé de rassurer. J’ai l’impression que dans ces cas là il faut vite leur donner des actes à réaliser, pour elle des recherches à faire sur différents secteurs d’activité, des renseignement à glaner auprès de ses proches. Elle est repartie avec quelques adresses de sites internet, des réflexions à mener : formation ou pas, changer de secteur ou pas, ce qu’elle ne veut plus… Elle a eu l’air mieux que quelques dizaines de minutes auparavant.

Je leur laisse toujours mon adresse mail et/ou un numéro de téléphone pour me joindre, je ne pourrais pas les laisser face à eux-mêmes sans personne vers qui se tourner. Aucun ne m’a jamais contacté donc je ne sais pas si c’est utile en fait, mais je me dis que ça peut les rassurer… Peut-être que je les materne trop, peut-être que c’est moi que je veux rassurer, peut-être même que c’est malsain car j’essaie de les rendre dépendants de moi. C’est vrai que j’aimerais qu’ils me contactent, je me sentirais plus utile sans doute, plus sûre de moi et de l’aide que j’apporte.


En même temps, je me fatiguerais vite, je m’userais rapidement si quelqu’un attendait trop de moi. Je l’ai vécue dans l’association dont je fais partie et j’ai vite saturé, je ne suis pas si « sauveuse » que ça en fin de compte…
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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 08:30
Jour de repos, rien à faire si ce n'est la vaisselle, le ménage, vider mes valises, laver du linge...rien de très passionnant.

Ce midi, je vais aller chez Lui pour un barbecue. J'ai envie de le voir mais la flemme de sortir pour y aller... faut vraiment que je me mette un coup de pied au c...

Hier, boulot, j'ai passé la journée au bureau. J'ai terminé de rédiger les bilans de compétences qui se sont terminés avant-hier pour les envoyer et les facturer (c'est surtout ça qui compte pour mon patron, la facturation!).

Entre deux lignes, je me suis renseignée sur les études à distance, je me demande si je ne vais pas essayer d'obtenir ma licence de psycho puis ma maitrise, je crois qu'on dit master maintenant ... mais je ne sais pas si ça me sera vraiment utile.

J'ai préparé un exercice pour lundi, je serais sur le groupe de remise à niveau. Comme ils reviennent de vacances, je voulais en profiter pour m'appuyer sur le sujet. Mais comment faire alors qu'ils ont des niveaux tellement différents? Entre ceux qui ne savent pas lire, ceux qui ne parlent pas français et ceux qui ont un niveau 3eme, pas facile de trouver un exercice commun à tous.
Finalement, j'ai cherché des pictogrammes, des dessins sur internet qu'ils découperont en fonction de ce qu'ils ont fait, en face de chaque ils pourront expliquer, suivant leur niveau, donc à l'oral pour certains. Je me suis dit que ça leur ferait travailler un peu leur expression écrite, leur grammaire... mais je ne sais pas si ça va les intéresser.
En plus, je ne veux pas les mettre en difficulté, je sais que la plupart n'auront rien fait de leurs congés, ils ont des difficultés financières, familiales et j'en passe. D'ailleurs, j'ai plutôt parlé de leur été que de leurs vacances, ils ont au moins tous passé l'été...

Je n'ai rien trouvé dans tous les bouquins pour m'aider alors c'est du fait-maison, on verra...

Et si je me mettais à mes corvées ménagères??
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